Dans son intervention, Bakary Cissé n’a pas manqué de saluer l'existence du stade Aline Sitoé Diatta, qu’il considère comme une fierté pour la région. "Ce stade est le fruit d’un plaidoyer collectif, soutenu par les autorités et les acteurs locaux. C’est une infrastructure dont nous devons être fiers", a-t-il affirmé.
Il n’a pas occulté les réalités difficiles auxquelles font face d’autres localités de la région. "Si Ziguinchor bénéficie de ce joyau, ce n’est pas le cas partout. À Buñola, il n’y a pas de stade fonctionnel, et à Niaguis, les matchs se jouent encore sur du sable. C’est un frein énorme pour le développement du sport", a-t-il déploré.
Pour Bakary Cissé, le football va au-delà du jeu : c’est un moteur de développement, un moyen d’encadrer une jeunesse dynamique. "La plupart des jeunes joueurs de la région ont une moyenne d’âge de 18 ans. Ces jeunes, avec un bon encadrement et des infrastructures adaptées, peuvent atteindre des sommets. Nous devons leur donner les moyens de rêver et de réussir", a-t-il insisté.
Son plaidoyer a également mis en exergue l’importance d’une politique sportive ambitieuse. "Chaque ballon qui roule sur un bon terrain est une opportunité pour nos jeunes de progresser. Il faut que les autorités locales et nationales investissent davantage dans les infrastructures sportives, car le sport est aussi un vecteur de paix et de cohésion sociale", a-t-il ajouté.
En acceptant d’être le parrain de cette finale, Bakary Cissé a renforcé son image de leader engagé. Plus qu’un simple parrainage, sa présence symbolise une vision tournée vers l’avenir : un football régional structuré, inclusif, et capable de rivaliser avec les grandes métropoles sportives du Sénégal.
Le message de Bakary Cissé est clair. Si Ziguinchor peut se targuer d’avoir un stade moderne, il est crucial que des infrastructures similaires voient le jour dans d’autres localités. "Investir dans le sport, c’est investir dans notre jeunesse et dans le développement de toute une région. Le football peut transformer des vies, il faut lui donner cette chance", a-t-il conclu.
Avec des figures comme Bakary Cissé, la région de Ziguinchor peut espérer un avenir où le sport sera à la fois un levier de développement et un outil de rayonnement. Mais pour cela, les actes doivent suivre les paroles. La balle est désormais dans le camp des décideurs.
Samboudiang Sakho casa24.sn
Il n’a pas occulté les réalités difficiles auxquelles font face d’autres localités de la région. "Si Ziguinchor bénéficie de ce joyau, ce n’est pas le cas partout. À Buñola, il n’y a pas de stade fonctionnel, et à Niaguis, les matchs se jouent encore sur du sable. C’est un frein énorme pour le développement du sport", a-t-il déploré.
Pour Bakary Cissé, le football va au-delà du jeu : c’est un moteur de développement, un moyen d’encadrer une jeunesse dynamique. "La plupart des jeunes joueurs de la région ont une moyenne d’âge de 18 ans. Ces jeunes, avec un bon encadrement et des infrastructures adaptées, peuvent atteindre des sommets. Nous devons leur donner les moyens de rêver et de réussir", a-t-il insisté.
Son plaidoyer a également mis en exergue l’importance d’une politique sportive ambitieuse. "Chaque ballon qui roule sur un bon terrain est une opportunité pour nos jeunes de progresser. Il faut que les autorités locales et nationales investissent davantage dans les infrastructures sportives, car le sport est aussi un vecteur de paix et de cohésion sociale", a-t-il ajouté.
En acceptant d’être le parrain de cette finale, Bakary Cissé a renforcé son image de leader engagé. Plus qu’un simple parrainage, sa présence symbolise une vision tournée vers l’avenir : un football régional structuré, inclusif, et capable de rivaliser avec les grandes métropoles sportives du Sénégal.
Le message de Bakary Cissé est clair. Si Ziguinchor peut se targuer d’avoir un stade moderne, il est crucial que des infrastructures similaires voient le jour dans d’autres localités. "Investir dans le sport, c’est investir dans notre jeunesse et dans le développement de toute une région. Le football peut transformer des vies, il faut lui donner cette chance", a-t-il conclu.
Avec des figures comme Bakary Cissé, la région de Ziguinchor peut espérer un avenir où le sport sera à la fois un levier de développement et un outil de rayonnement. Mais pour cela, les actes doivent suivre les paroles. La balle est désormais dans le camp des décideurs.
Samboudiang Sakho casa24.sn
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